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7 avr. 2025

minutes

Chenille processionnaire chien : dangers et protections à connaître

bien-etre
Chenille processionnaire qui rampe sur le sol

Tout savoir sur la chenille processionnaire du pin et les risques pour votre chien

Identification des chenilles processionnaires : comprendre le danger

Les chenilles processionnaires sont les larves d’un papillon de nuit, appartenant à la famille des Thaumetopoeidae. Leur nom provient de leur comportement caractéristique : elles se déplacent en procession, c’est-à-dire en file indienne, principalement à la sortie de l’hiver et au début du printemps. Ce phénomène est bien connu dans les zones boisées, notamment dans les forêts de pins, où elles sont très actives.


Ce qui rend la
chenille processionnaire particulièrement dangereuse, c’est la présence de poils urticants microscopiques qui couvrent leur corps. Ces poils contiennent une toxine appelée thaumétopoéine, responsable de réactions allergiques parfois sévères chez les humains, mais surtout chez les chiens et autres animaux de compagnie.

Le contact avec les poils peut entraîner des symptômes immédiats comme des démangeaisons, des œdèmes, des lésions cutanées, ou encore des atteintes aux voies respiratoires.

Le risque de contact avec les chenilles est d’autant plus grand que leur présence augmente chaque année avec le réchauffement climatique, qui élargit leur territoire vers le nord de la France et la côte atlantique. Lors d’une balade en forêt, il est fréquent de croiser une processionnaire du pin sur un chemin, notamment au pied des arbres infestés.

La prudence est donc de mise si vous promenez votre chien : si votre chien lèche ou mord une chenille processionnaire, il faut immédiatement consulter un vétérinaire, car un choc anaphylactique ou une nécrose de la langue peut survenir. La prise en charge doit être rapide pour éviter des conséquences graves.

Chenilles processionnaires qui se suivent en fil indienne

Caractéristiques des chenilles processionnaires du pin

Les chenilles processionnaires du pin (Thaumetopea pityocampa) sont les plus connues et les plus répandues en France.

Ces chenilles se développent principalement sur les pins : pin sylvestre, pin noir, pin maritime, mais peuvent aussi coloniser occasionnellement les cèdres, sapins et autres conifères. Leur apparence est reconnaissable : elles mesurent en moyenne 3 à 4 cm de long, avec un corps brun grisâtre et des taches claires sur les flancs.

Ce qui les distingue, ce sont leurs poils urticants qui se détachent facilement au moindre contact, se dispersent dans l’environnement et peuvent rester toxiques plusieurs semaines dans l’air ou sur le sol.

Ces poils provoquent des réactions inflammatoires dès qu’ils entrent en contact avec la peau, les yeux, ou les muqueuses, que ce soit chez l’animal ou l’humain. Une simple inhalation peut déclencher une irritation des voies respiratoires.

Chez le chien, le danger est encore plus marqué. Lorsqu’un chien renifle ou lèche le sol où sont passées les processionnaires, ou lorsqu’il entre directement en contact avec les chenilles, il peut développer de graves symptômes : hypersalivation, langue gonflée, vomissements, douleurs intenses, voire nécrose ou perte d’un bout de langue.

C’est pourquoi il est vital de connaître ces caractéristiques, et d’éviter toute proximité entre les chenilles et votre animal de compagnie.

nid de Chenille processionnaire dans un pain parassole

Le cycle de vie de la chenille processionnaire

Le cycle de vie de la chenille processionnaire du pin est un processus complexe, rythmé par les saisons. Tout commence à la fin de l’été, lorsque le papillon adulte, discret et de couleur brune, pond ses œufs sur les aiguilles des pins.

Après environ un mois, les œufs éclosent, donnant naissance à des centaines de chenilles, qui commencent leur développement en tissant un nid soyeux en haut des arbres, souvent visible dans les couronnes des conifères.

Tout au long de l’automne et de l’hiver, les chenilles processionnaires du pin grandissent à l’intérieur de ces nids, qu’elles quittent au début du printemps. C’est alors que commence leur fameuse procession au sol, à la recherche d’un endroit propice pour s’enfouir dans le sol, généralement à quelques mètres de leur arbre hôte.

Cette phase souterraine peut durer plusieurs mois, voire jusqu’à deux ans, selon les conditions climatiques et la réponse de l’insecte à son environnement.

Après cette phase d’enfouissement, la métamorphose s’opère : les chenilles se transforment en nymphe, puis en papillon de nuit, qui vivra seulement quelques jours, le temps de se reproduire et de recommencer le cycle. Ce cycle de vie, bien que naturel, constitue un risque sérieux pour la santé humaine et animale, surtout pendant les processions, où les poils urticants sont massivement libérés. Une action de traitement préventif est souvent nécessaire dans les zones fortement infestées pour limiter leur impact sur les chiens, les animaux de compagnie et les humains.

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Les risques pour les chiens et autres animaux de compagnie

Les chenilles processionnaires du pin représentent un véritable danger pour les chiens, mais également pour d'autres animaux de compagnie comme les chats, les chevaux ou même les lapins. Toutefois, chez le chien, le risque est plus élevé, en raison de son comportement exploratoire, sa curiosité et son habitude de sentir ou de lécher tout ce qu’il trouve au sol, notamment lors de balades en forêt ou dans des parcs arborés.

Lorsqu’un chien entre en contact avec les chenilles, notamment avec leurs poils urticants, une réaction d’envenimation peut survenir en quelques minutes.

Ces poils, libérés en nuage ou directement au toucher, s’accrochent aux muqueuses buccales, à la langue, à la truffe, ou même aux yeux de l’animal. Ils sont capables de percer les tissus et de libérer des toxines particulièrement dangereuses pour la santé.

Si votre chien lèche ou mord une chenille processionnaire, les conséquences peuvent être très graves : lésions, œdèmes, réactions allergiques sévères, voire un choc anaphylactique. Dans certains cas, l’inflammation peut provoquer une nécrose des tissus de la langue ou de la gueule, allant jusqu’à la perte d’un morceau de langue.

Ce type de blessure est irréversible si la prise en charge n’est pas immédiate.

Les chats, quant à eux, sont un peu moins exposés mais pas à l’abri. Un chat qui chasse ou joue avec une chenille processionnaire peut également souffrir de réactions cutanées, d’irritations oculaires, ou de lésions buccales.

Les autres animaux de compagnie, comme les chevaux ou les NAC (nouveaux animaux de compagnie), peuvent également être contaminés par simple exposition aux poils urticants dispersés dans l’environnement.

Chenille processionnaire qui se suivent à travers des cailloux en fil indienne

Symptômes d’envenimation chez le chien

Les symptômes d’une envenimation par chenille processionnaire chez le chien sont le plus souvent visibles dans les minutes qui suivent le contact. Le premier signe d’alerte est souvent une salivation excessive, anormale, accompagnée de vomissements, de gémissements, ou d’un comportement inhabituel.

On observe également un gonflement de la langue, des babines, de la truffe et parfois du visage entier du chien.

Dans les cas graves, des plaques rouges peuvent apparaître dans la gueule, sur la langue ou autour des lèvres, avec des signes évidents de douleur, de brûlure ou de démangeaison. L’animal peut frotter son museau contre le sol ou les murs, essayer de se gratter de façon frénétique.

En l’absence de traitement, la situation peut rapidement dégénérer : la langue peut changer de couleur (blanche, noire ou violette), et une nécrose tissulaire peut se développer.

Des difficultés respiratoires peuvent également apparaître, en raison d’une inflammation des voies respiratoires, ce qui constitue une urgence vétérinaire absolue.

Le contact avec les poils urticants peut aussi affecter les yeux (avec rougeur, larmoiement et gonflement), ainsi que la peau (plaques, cloques, démangeaisons). Dans tous les cas, une prise en charge rapide est essentielle pour limiter les conséquences et préserver la santé de votre chien.

Chenille processionnaire sur une branche de pain

Conséquences d’une rencontre avec une chenille processionnaire

Une simple rencontre avec une chenille processionnaire peut entraîner des conséquences dramatiques pour les animaux.

Chez les chiens, le principal risque est la nécrose de la langue, une complication grave et irréversible qui nécessite parfois une intervention chirurgicale. Plus le contact est long, plus la gravité de l’envenimation augmente.

Outre les lésions buccales, les chenilles processionnaires du pin peuvent également provoquer une inflammation intense des voies respiratoires, en particulier si les poils urticants sont inhalés. Cela peut mener à une gêne respiratoire, voire à une asphyxie partielle, si la prise en charge n’est pas immédiate. Il est donc impératif de consulter un vétérinaire dès l’apparition des symptômes évoqués plus haut.

Enfin, le contact avec la peau ou les yeux du chien peut provoquer des réactions inflammatoires sévères : rougeurs, gonflements, œdèmes, cloques, conjonctivite.

L’animal peut perdre momentanément la vue si ses yeux sont atteints, et il faut alors appliquer des soins vétérinaires spécifiques, notamment un nettoyage oculaire et l’administration de collyres anti-inflammatoires.

Les chenilles processionnaires, bien qu’elles paraissent anodines, sont donc un danger réel pour tous les animaux de compagnie.

Le seul moyen de les protéger est d’anticiper, d’éviter les zones à risque pendant la période de procession, et de consulter sans attendre au moindre signe d’exposition.

Chenille processionnaire sur un mur en pierre

Premiers secours : que faire si votre chien a été en contact avec une chenille processionnaire ?

En cas de contact avec une chenille processionnaire du pin, il est crucial de réagir rapidement afin de limiter les conséquences sur la santé de votre chien. Le risque d’envenimation est élevé, surtout chez le chien, qui est l’un des animaux de compagnie les plus fréquemment touchés par ces insectes urticants. La présence de poils urticants sur le corps de la chenille processionnaire constitue un danger immédiat pour les chiens, mais aussi pour les humains, les chats ou d'autres animaux vivant dans le même environnement.

Si votre chien a été en contact avec des chenilles processionnaires, il faut éviter toute manipulation à mains nues : les poils microscopiques restent actifs même après le détachement du corps de l’insecte et peuvent provoquer des réactions cutanées sévères, voire des difficultés respiratoires. En cas de doute, mieux vaut agir par précaution, car les symptômes peuvent s'aggraver très vite.

conglomérat de Chenille processionnaire sur le sol

Les premières actions à mener

Dès que vous soupçonnez un contact avec des chenilles processionnaires, isolez immédiatement votre chien du lieu infesté pour limiter l’exposition. Portez des gants de protection pour éviter le contact direct avec les poils. Ces poils sont si légers qu’ils peuvent se fixer sur la peau, les vêtements ou les muqueuses, déclenchant des réactions allergiques sévères.

Procédez ensuite à un rinçage abondant de la gueule, de la langue, du museau et de toute zone de contact, à l’aide d’eau tiède. N’utilisez jamais d’eau froide ni ne frottez la zone touchée : cela risquerait de casser les poils urticants et d’en libérer la substance toxique, aggravant ainsi l’envenimation. Si vous observez des poils visibles sur le pelage ou la peau du chien, utilisez un gant humide ou un linge propre pour les retirer délicatement.

Surveillez très attentivement les réactions de l’animal : salivation, gonflement, changement de comportement, vomissements, rougeurs cutanées, ou encore difficultés à respirer. Ces symptômes sont les signes d’une réaction allergique ou d’un début de nécrose, en particulier chez le chien, qui est très sensible à cette toxicité.

2 niods de Chenilles processionnaires dans les hauteurs d'un pain parassole

Quand contacter le vétérinaire

Il est fortement recommandé de contacter immédiatement un vétérinaire si :

  • votre chien a léché ou reniflé une chenille processionnaire ;

  • vous observez une salivation excessive, un gonflement de la langue, des babines ou de la truffe ;

  • votre animal présente des rougeurs, des plaques, des réactions cutanées ou des troubles respiratoires ;

  • un comportement inhabituel (abattement, gémissements, refus de s’alimenter, agitation) se manifeste.

Le traitement d’urgence mis en place par le vétérinaire peut inclure l’administration d’antihistaminiques, de corticoïdes, voire d’un traitement par perfusion en cas de choc anaphylactique. Une prise en charge rapide peut sauver la langue du chien – qui risque la nécrose en l'absence de soins – et surtout, sa vie.

Enfin, notez que les chenilles processionnaires du pin représentent un risque sanitaire croissant dans de nombreuses régions de France, en particulier au printemps. Le réchauffement climatique favorise leur expansion territoriale, notamment dans les forêts, les jardins ou les espaces de balades.

Chenille processionnaire sur une feuille verte

Prévention : stratégies pour protéger votre chien des chenilles processionnaires

La prévention est aujourd’hui la meilleure action possible face au danger des chenilles processionnaires du pin, qui représentent un risque croissant pour les chiens, les animaux de compagnie en général et même les humains. Les poils urticants que libère chaque chenille processionnaire peuvent entraîner des réactions graves, des symptômes douloureux et parfois irréversibles chez le chien. Les périodes les plus critiques se situent au printemps, lorsque les chenilles descendent en procession des arbres pour s’enfouir dans le sol.

En amont, quelques mesures simples mais rigoureuses permettent de réduire fortement le risque de contact avec les chenilles. Il est donc essentiel de protéger son chien lors des promenades, dans les zones boisées, les forêts de pins, ou tout endroit où des processionnaires auraient été signalées.

3 Chenilles processionnaires en fil indienne

Éducation et mesures de protection

Pour limiter les risques de contact, une première étape essentielle consiste à éduquer votre chien dès le plus jeune âge. L’objectif : lui apprendre à ne pas renifler ni lécher les objets suspects sur le sol, comme des branches, des nids tombés ou des insectes en procession. L’éducation canine est ici un outil de prévention redoutablement efficace.

Les colliers antiparasitaires, utiles contre les tiques et puces, sont inefficaces contre les poils urticants. Ils ne protègent pas contre les chenilles processionnaires, qui ne sont pas des parasites cutanés mais des insectes forestiers dangereux par contact direct.

Il est fortement déconseillé de laisser son chien sans surveillance dans un jardin s’il est bordé de pins, de sapins ou de cèdres, surtout si vous êtes dans une région touchée par l’invasion des chenilles processionnaires du pin. La surveillance constante de l’animal est indispensable pour éviter toute envenimation.

conglmerat de Chenilles processionnaires sur le sol, iul y a des aiguilles de pain parassole

Conseils pour les promenades dans les zones à risque

Durant la saison des chenilles, mieux vaut éviter les balades en forêt dans les zones connues pour héberger ces insectes urticants. Les forêts de pins sont les plus touchées, mais on trouve aussi parfois des nids sur d'autres conifères ou arbres isolés.

Utilisez une laisse courte pour garder votre chien sous contrôle, en particulier dans les zones boisées. Cela permet d’éviter qu’il renifle une chenille, qu’il y ait contact avec les poils, ou qu’il suive une procession de chenilles jusqu’à les toucher.

Inspectez régulièrement les arbres autour de chez vous : la présence de nids soyeux blancs dans les pins signale souvent une colonie de chenilles processionnaires. Informez votre entourage et les autres propriétaires d’animaux de compagnie. Une action collective dans votre quartier permet souvent d’endiguer le problème plus efficacement.

Chenilles processionnaires sur le sol, elles se suivent

Traitement médical et suivi en cas de contact

Malgré toutes les mesures de prévention, le contact avec une chenille processionnaire du pin peut survenir. Une prise en charge rapide est cruciale pour éviter des complications graves chez le chien. Le risque de nécrose de la langue, de détresse respiratoire ou de choc anaphylactique est réel si les poils urticants pénètrent dans la bouche, la gueule ou les voies respiratoires de l’animal.

Une consultation vétérinaire d’urgence s’impose dès les premiers symptômes : salivation abondante, gonflement de la truffe ou de la langue, gémissements, irritations oculaires, ou troubles du comportement. Une prise en charge immédiate peut sauver la vie de votre chien et limiter les séquelles.

Une centaine de Chenilles processionnaires sur le sol

Options de traitement vétérinaire

Le traitement vétérinaire dépend du niveau de réactions observées chez l’animal. Il repose généralement sur :

  • Antihistaminiques et corticoïdes pour calmer l’inflammation et stopper la réaction allergique ;

  • Soins locaux, comme le nettoyage de la gueule, des yeux et des zones de contact ;

  • Application de pommades cicatrisantes pour apaiser les lésions ;

  • En cas de nécrose, une chirurgie ou des soins intensifs peuvent être envisagés ;

  • Si le chien a des problèmes respiratoires, un traitement par oxygénothérapie peut être nécessaire.

Chaque situation dépend du niveau d’exposition aux poils urticants, du type de contact, et du temps écoulé avant la prise en charge.

fil de Chenilles processionnaires sur un sol avec des cailloux

Suivi post-traitement et mesures de réhabilitation

Une fois les premiers soins vétérinaires prodigués, un suivi régulier est nécessaire pour vérifier la cicatrisation des tissus touchés, notamment si la langue ou les muqueuses ont été atteintes. Dans certains cas, un changement temporaire de l’alimentation est conseillé (nourriture humide ou purée adaptée), surtout si l’animal a du mal à mâcher.

Prévoir une surveillance de plusieurs jours à quelques semaines, en fonction de la gravité de la réaction. Il est aussi utile d’informer votre vétérinaire lors des consultations suivantes, surtout si vous habitez une zone où les chenilles processionnaires du pin sont fréquentes.

Enfin, une vigilance accrue s’impose lors des prochaines balades. Le risque est réel, mais en adoptant les bons réflexes de prévention, vous pouvez protéger efficacement votre chien, votre famille, et tous les animaux de compagnie exposés à ce danger.

Chenilles processionnaires noires et blanches sur le sol

Conclusion

Les chenilles processionnaires du pin représentent un véritable danger pour les chiens et autres animaux de compagnie. Le simple contact avec leurs poils urticants peut provoquer de graves réactions : inflammations, nécroses, voire choc anaphylactique chez le chien.

Pour limiter les risques, la prévention est essentielle : évitez les zones infestées, surveillez votre chien, et agissez rapidement en cas de contact. Une prise en charge vétérinaire immédiate reste la meilleure option pour éviter les complications. Connaître le cycle de la chenille processionnaire, ses symptômes et les bons traitements permet de préserver la santé de votre chien.

Chenilles processionnaires sur un arbe
FAQ
Quel est le danger des chenilles processionnaires pour les chiens ?
Comment protéger son chien des chenilles processionnaires ?
Comment savoir si mon chien a touché une chenille processionnaire ?
nid de Chenilles processionnaires dans un pain